Apprendre doit-il être douloureux ?

Pourquoi les choses auraient-elles plus de valeur si elles ont été obtenues dans la douleur ?  Pourquoi devrais-je faire d’abord ce que je n’ai aucune envie de faire et non pas l’autre chose que j’ai envie de faire et pour laquelle je dispose de tous les éléments dont j’ai besoin ? Si on me demande d’aller du point A au point B, la manière dont je m’y rends ne relève-t-elle pas simplement de mon choix ? Ce que je fais en premier aussi.
 

Personnellement, j’ai arrêté depuis longtemps de suivre les injonctions qui me semblent illogiques et contre-productives. Si je n’arrive pas à faire quelque chose, c’est qu’il me manque des éléments pour y parvenir. A moi de trouver lesquels et de me les procurer. La pertinence de cette intuition se vérifie à chaque fois. Je ne suis pas « paresseux » de nature : si je bloque, il y a forcément une raison.

Nous nous efforçons d’adapter le niveau de nos modules de formation à celui des participants. Nous testons également ces modules pour vérifier qu’ils sont bien adaptés. La douleur ne fait pas partie de nos outils. Nous lui préférons le rire, qui détend les muscles du visage et du ventre.

D’ailleurs les Shadoks sont là pour nous aider à rire quand nous n’y arrivons pas tout seuls. Ils nous permettent d’avancer dans la bonne humeur en essayant toujours de proposer un accès simple, contrairement à ce qui se produit si on ne réfléchit pas aux besoins et au niveau de départ des participants.